Confier le choix de revêtement de la toiture à un couvreur
Difficile de choisir les matériaux adaptés pour sa toiture quand on ne dispose pas les connaissances requises dans le domaine. Un matériel se choisit suivant des conditions strictes dont la pente du toit, la zone géographique de la maison et les conditions climatiques, notamment la pluviométrie. Une fois ces critères en tête, il vous sera plus facile de trouver le matériel idéal à votre toiture.
En tenant compte de la géo localisation
À proximité d’un monument historique, les règlements locaux concernant les revêtements de la couverture sont plus stricts. La municipalité sollicite surtout le choix de la tuile en terre cuite pour les maisons environnantes des édifices culturels. Afin d’assurer une meilleure étanchéité, l’intervention d’un couvreur comme celui dans le 69 est donc indispensable même si les tuiles en terre cuites permet une facile de pose. Prudence lors de la manipulation de ces types de tuiles, le revêtement est considéré comme parmi les plus fragiles (après l’ardoise), or elle dispose aussi d’une bonne durabilité.
La toiture en tuile terre cuite est la plus courante en France, disposant de divers formes, elles se posent par ou sans emboitement. Incorruptible, ce type de toiture résiste au gel de l’hiver et aux intempéries. Afin d’assurer une structure solide et sans failles, l’artisan met en place une charpente plus résistante qui ne cèdera pas à la charge. Les tuiles en terre cuite sont disponibles sous diverses formes et couleurs, mais avant de choisir la bonne couleur, un expert vous conseille de tenir compte de la liste de couleurs permises dans votre région.
Les conditions climatiques d’une région
Un critère important qui permet de déterminer la résistance exigée d'un matériel de la toiture. L’artisan choisit un matériel en plus de la typologie de la toiture selon la pluviométrie de la région dans laquelle votre habitation est résidée. Une région enneigée nécessite un revêtement résistant au gel, tel que la toiture en zinc, en tuile terre cuite. L’ardoise est fortement déconseillée en raison de sa fragilité et de sa faible résistance face au gel et à l’humidité.
Une toiture plate et ses dérivés sont moins propices pour les régions à forte pluviométrie. L’eau de fonte de neige et les eaux de pluie favorisent la stagnation d’eau puis engendre une importante infiltration d’eau. Une toiture végétale sera plus propice à la colonisation des mousses et lichens. La meilleure alternative est d’opter pour un revêtement plus étanche et des toitures pentues pour les régions à forte pluviométrie.
Selon la pente et la charpente
Un revêtement varie selon la pente et la structure de la charpente. La première est de prendre en compte de la pente de la toiture. Si la toiture est faible, l’artisan devrait habiller la toiture d’un revêtement d’étanchéité tel qu’une couche de résine acrylique étanche. Dans le cas d’une toiture à faible pente, presque tous les types de tuiles, la lauze, les ardoises sont permises. D’un côté, une toiture très pentue demande est synonyme de forts débits d’évacuation des eaux de la pluie. Plus la pente est importante, plus la charge imposée par les intempéries que la toiture encaisse est importante. Or, la charpente doit être en mesure de soutenir cette charge en plus du poids du revêtement et de son propre poids. De ce fait, un revêtement lourd et toit pentu ne font pas bon ménage ensemble. Un artisan couvreur comme celui dans le 69 choisit alors une combinaison plus équilibre afin de répartir la charge de la charpente. Il conseille alors une réfection de la charpente si l’emploi d’un revêtant pesant comme la lauze ou le tuile en béton avec une toiture pentue est nécessaire.